Henriette de Bordeaux, je vous aime

Je partage, je like, je commente, j’adore, je ris mais encore rien de vraiment plus profond sur cette femme, cette artiste, cette proche amie.

C’est une belle et douce rencontre.
C’est une belle histoire car c’est une belle personne. Une rencontre vraie, authentique, rendue possible (aussi surprenant que cela puisse paraître !) par les réseaux….

C’est d’abord son humour qui m’a poussé à commenter ses publications. J’ai en tête le souvenir d’une photo d’elle avec les acteurs de Dallas.

Quelques temps après, j’ai découvert son univers. Son personnage : Henriette. Henriette et Sarah L’avoine, Henriette et les stars des années 80, Henriette et les femmes qui se battent contre le cancer… Henriette est la vie dans ce qu’elle a de plus léger au premier abord puis dans ce qu’elle a de plus présent, de plus profond, de plus subtil, de plus précieux.

C’est une belle personne : aujourd’hui illustratrice. Elle a un parcours étonnant, riche, des amis connus et inconnus. Elle est assez secrète finalement et ne s’expose qu’au travers de son personnage et de sa ville (qu’elle a retrouvé il y a peu) : Henriette de Bordeaux.

Elle aime la nature humaine. C’est sa profondeur d’âme qui saute aux yeux. Elle est « à part » tout comme son humour et Morice, son chien (qui doit son nom à l’illustre Maurice Béjart) qui l’accompagne toujours. Ne dites pas que je vous l’ai dit c’est un secret !

Légère et profonde à la fois, elle n’a de cesse de pointer chez l’autre ce qu’il a de meilleur. Sa plume est percutante, généreuse, juste et poétique. C’est peut-être en cela qu’elle aime la danse et qu’elle est fascinée par les plus grands chorégraphes, Maurice Béjart, Patrick Dupont et Leila Da Rocha.

J’ai la chance d’avoir en ma possession quelques unes de ses œuvres. Je mesure combien c’est précieux.

Parfois ce qui est épuré contient toute l’essence du monde.

C’est difficile de dire aux gens combien on les admire, difficile de mettre en mots.

Alors pour conclure, quelques lignes, quelques mots à l’instar de ses coups de crayons :
« La parole éblouit et trompe, parce qu’elle est mimée par le visage, parce qu’on la voit sortir des lèvres, et que les lèvres plaisent et que les yeux séduisent. Mais les mots noirs sur le papier blanc, c’est l’âme toute nue. » (Maupassant)

Je vous invite à partir en voyage sur son site : https://www.lesdessinsdesophieb.com/